
Madické Niang dans sa villa du quartier huppé des Almadies, à Dakar, le 25 novembre. © Sylvain Cherkaoui pour JA
Très proche de l’ancien président Wade, Madické Niang, candidat à la présidentielle sénégalaise, dit ne faire que son devoir en briguant la magistrature suprême. Et promet de se retirer si Karim Wade était finalement autorisé à participer au scrutin du 24 février.
Les intimes d’Abdoulaye Wade ne sont pas nombreux. Ceux qu’il a perçus comme successeurs éventuels le sont encore moins. Mais Madické Niang est de ceux-là – peut-être même est-il le seul à avoir bénéficié de la pleine confiance de l’ex-président des années durant. En septembre, leur relation, vieille de plus de trois décennies, s’est pourtant brusquement dégradée.
En cause ? La décision de ce florissant et coquet avocat de présenter une « candidature alternative » à celle de Karim Wade, à laquelle seuls son père et quelques barons du Parti démocratique sénégalais (PDS) font encore mine de croire.
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