
Félix Tshisekedi accueilli par des milliers de partisans à son arrivée à Kinshasa,le 27 novembre. © JOHN WESSELS/AFP
Son patronyme est célèbre, mais il souffre de la comparaison avec son père. Certains sondages le donnent favori de la présidentielle, quand ses adversaires le jugent discrédité par ses revirements. A-t-il vraiment l’étoffe d’un leader ?
Dans la commune de Limete, à Kinshasa, la résidence historique d’Étienne Tshisekedi semble encore attendre le retour de son propriétaire. Dans un coin de la villa, un mausolée sur lequel veillent une grande photo de l’opposant disparu et deux drapeaux : celui de la RD Congo et celui de l’Union pour la démocratie et le progrès social (UDPS), ce parti qu’Étienne Tshisekedi a cofondé en 1982 pour lutter contre la dictature de Mobutu Sese Seko. Non loin de là, la radio du défunt trône toujours sur une petite table, comme si le patriarche allait revenir s’asseoir sur la chaise de jardin attenante pour l’écouter.
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