
Course hippique photo dillustration). © Andres Kudacki/AP/SIPA
Malgré le conflit l’ayant opposé aux loteries africaines francophones ces dernières années, la société de paris hippiques continue de miser gros sur le continent.
Le bras de fer avec le Pari mutuel urbain (PMU) aura duré plus de deux ans. Courant novembre, à Dakar, les quinze patrons des loteries d’Afrique francophone, regroupées au sein de l’Association des loteries africaines (ALA), dont les paris sur les courses hippiques constituent le produit phare, ont trouvé un terrain d’entente avec la société française.
La redevance qu’ils versent depuis vingt-cinq ans pour profiter des droits de retransmission des courses et de toute la logistique des paris sera revue à la hausse. Elle était jusqu’au 31 décembre principalement forfaitaire et négociée pays par pays, représentant par exemple 0,7 % du total des paris au Sénégal. Elle s’élève désormais à 1,25 % du montant des paris et augmentera de manière progressive pour atteindre 3 % dans quatre ans.
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