
Abdoul Karim Meckassoua, président de l’Assemblée nationale centrafricaine. © Vincent Fournier pour Jeune Afrique
Le président de l’Assemblée nationale centrafricaine est la cible d’un groupe de députés qui réclame sa destitution. En filigrane, c’est une lutte entre Karim Meckassoua et Faustin-Archange Touadéra qui se joue là, sur fond de dissensions entre partisans des Occidentaux et des Russes.
Que cache la pétition lancée par un groupe de députés visant à destituer Karim Meckassoua, le président de l’Assemblée nationale (PAN), pour « gestion patrimoniale et clanique » ?
Un bras de fer entre ce dernier et Faustin-Archange Touadéra, le chef de l’État, dont les partisans sont à l’origine de cette tentative, mais aussi, en filigrane, un clivage entre les partenaires occidentaux de la RCA et les nouveaux amis russes du président centrafricain.
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