
Vue de Yaoundé, Cameroun. © Cifor/ CC/Flickr
Un tribunal de Douala se penchera le 26 octobre sur la cession de 68,5 % des actifs de la Banque internationale du Cameroun pour l’épargne et le crédit (Bicec) au groupe marocain Banque centrale populaire (BCP). Un collectif d’hommes d’affaires camerounais tente de bloquer l’opération.
Le 26 octobre, le tribunal de première instance de Bonanjo, à Douala, se penchera sur la cession de 68,5 % des actifs de la Banque internationale du Cameroun pour l’épargne et le crédit (Bicec, filiale de la Banque populaire Caisse d’épargne, BPCE) au groupe marocain Banque centrale populaire (BCP).
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Un collectif d’hommes d’affaires camerounais a saisi le juge des référés afin de bloquer l’opération et réclame l’ouverture de négociations avec l’État camerounais (actionnaire de la Bicec à hauteur de 17,5 %). Ils estiment que le groupe BPCE devrait permettre l’ouverture du capital de la Bicec à des ressortissants camerounais plutôt qu’à des fonds marocains.
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